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 Nébuleux ▬ « J'aime pas la vodka, bordel ! » ▬ Alexei Alinovitch

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MessageSujet: Nébuleux ▬ « J'aime pas la vodka, bordel ! » ▬ Alexei Alinovitch   Nébuleux ▬ « J'aime pas la vodka, bordel ! » ▬ Alexei Alinovitch EmptyVen 18 Jan - 12:43

Alexei Alinovitch






Messages : 1
Date d'inscription : 17/01/2013
Pouvoir n°1 : Contrôle de la foudre.
Alexei Alinovitch
Je suis ton père...


Nom : Alinovitch
Prénom(s) : Alexei
Surnom(s) : Russian Lightning.
Lieu de naissance : Le fin fond de la Russie.
Nationalité : Russe.
Âge de mort : 20 années.
Nombre de morts : Nébuleux.
Temps passé à Kohime : Un peu plus d'un an.



Magie, magie !


Capacité surnaturelle : Contrôle de la foudre.
Tu peux donc paralyser voir électrocuter les autres à stn souhait, ainsi que contrôler l'électricité qui arrive dans une pièce afin de créer des « pannes de courant ». De même, tu peux contrôler l'électricité statique de manière à ce que 'on se retrouve les cheveux piqués sur la tête.
Seconde capacité surnaturelle :
Faiblesse :Pour commencer, à chaque fois que tu utilises tes pouvoirs, on peut apercevoir un peu d'électricité parcourant ton corps, ce qui n'est pas pratique lorsque tu veux jouer discrètement un sale coup. Paradoxalement, c'est le seul moment où ton électricité est visible. Autrement dit, tu ne peux pas faire de décharges puissantes dans le vide. Donc, si tu veux attaquer quelqu'un, il doit y avoir un contact physique. Et pour arrêter le courant d'une pièce, tu dois avoir l'accès à une prise.
Aussi, ton pouvoir est directement lié à tes émotions. Il est donc relativement courant que tu te retrouve avec les cheveux en porc-épic lorsque tu t'énerves. Ou que ce soit quelqu'un que tu touches qui se retrouve ainsi.
De plus, lorsque tu produis une décharge mortelle, tu en ressors avec une migraine atroce.


Je pense, donc je suis.


Avis sur Kohime et les Dames Noires : Pour toi, Kohime est un comme un faux paradis. Un paradis qui se parerait d'or pour cacher le poison qui est en son cœur. Selon toi, les Dames Noires sont trop étranges pour que tu puisses leur accorder la moindre once de confiance. Tu es encore plus méfiant avec elle que d'ordinaire.
Tu n'aimes pas cet endroit. Tu aimerais en sortir, mais tu sais que c'est impossible. Tu as vu bon nombre de gens essayer sans y arriver. Alors tu restes là, silencieux, une âme errante parmi tant d'autres, espérant ne pas mourir à nouveau, espérant ne pas être emporté par la folie.

Caractère :
Distant ▬ Orgueilleux ▬ Méfiant ▬ Plutôt silencieux ▬ Protecteur ▬ Impulsif ▬ Colérique ▬ Violent ▬ Possessif ▬ Franc ▬ Tsundere ▬ Attentionné ▬ Intelligent ▬ Réaliste ▬ Imaginatif ▬ Inconsciemment tactile avec ceux qu'il apprécie. ▬ A horreur de l'alcool et du rose. ▬ Déteste la société. ▬ N'a aucune confiance dans l'humanité. ▬ Agit parfois assez sauvagement. ▬ Est carrément vulgaire.

Tu n'es pas le genre de personne qui est constamment entouré d'amis, non, tu en es loin.
Tu es quelqu'un d'orgueilleux, qui n'admet jamais avoir tord, avoir peur, avoir mal, ou montrer le moindre signe de faiblesse. Tu as toujours été comme ça. Et tu n'as jamais voulu changer. Car montrer ses faiblesses, c'est offrir aux autres la possibilité de te manipuler, de te blesser. Et ça, tu ne veux pas.
Car tu n'as aucune confiance en les autres. Tu ne penses pas qu'une personne qui pense d'abord aux autres et après à soi existe. C'est juste une allure, des choses que disent les autres pour être apprécié, pour avoir l'air sympathique, agréable et tout le bordel.
Et si jamais quelqu'un était vraiment à faire ça, tu le trouvais naïf à en mourir, voir stupide. Pourtant, tu serais capable d'agir ainsi, toi aussi. Mais seulement si quelqu'un réussissait à acquérir toute ta confiance, ce qui n'est franchement pas gagné. Car avec ta vision des autres, tu ne risques pas de faire confiance à quelqu'un avant longtemps. Et cette personne devra bien s'accrocher.
Pourtant, si jamais quelqu'un arrive à avoir ta confiance, tu seras toujours là pour cette personne. Tu seras véritablement prêt à tout, tu seras encore plus colérique que lorsqu'on t'insulte toi, et aussi bien plus violent, tu passerais ton temps à s'enquérir de son bien-être, à le/la protéger.
Tout ça sans l’avouer véritablement, bien sûr. Car tu n'arrives pas à exprimer tes sentiments, et tes « va te faire foutre » font office de « je t'aime ». Car oui, tu es un tsundere, et pas un des moindre.

Physique :
La première chose que l'on remarque, c'est ta taille. Tu dépasses la majorité des gens que tu croise, de ton mètre 80. Pourtant, tu n'es pas si impressionnant que ça. En effet, tu es quelqu'un de plutôt svelte, et même si tu n'es fait que de muscles, muscles qui saillent d'ailleurs à chacun de tes mouvements, ta stature n'impose pas vraiment le respect.
Tu es doté de cheveux blonds, coupés plutôt courts, dont les mèches éparses donnent une impression naturelle d'ordre, ce qui fait que tu n'as pas besoin de t'en occuper. Soyeux, ils ondulent légèrement par endroit, encadrant ton visage, quelques mèches retombant sur ton front sans pour autant cacher constamment tes yeux, même si cela arrive relativement fréquemment. Il t'arrive de
Cette coiffure met en valeur ton visage d'albâtre et tes traits fins, qui sont par ailleurs légèrement androgynes, sans que cela mette en doute ton identité masculine. Tes yeux d'un rouge sanglant détonnent un peu du reste de ton visage, sans pour autant masquer tes caractéristiques physiques.
Des boucles argentés pendent à tes oreilles, pas toujours visible selon les moments.
Tu as un style vestimentaire plutôt simple, constitué de couleurs sobres. Tu portes constamment des bagues en argent.


Père Castor, une histoire ?


Histoire :

▬▬ Beginning.

Dans la salle d'à côté, on fêtait la réussite de ta sœur, ta sœur aînée, à un examen de violon. Dans la salle d'à côté, tout le monde riait, tout le monde s'occupait de ta sœur, de l'héritière, l'héritière de la famille Alinovitch.
Tout le monde semblait l'avoir oublié. Tu jouais seul dans ta chambre, avec tes jouets pour seule compagnie, en ce jour pourtant si particulier pour toi. Tu n'avais rien reçu, aucun cadeau, même pas de la part de tes parents. Alors que c'était ton anniversaire.
Tu savais qu'on préférait ta sœur à toi. Mais tu ne comprenais pas pourquoi. Tu ne savais pas ce que signifiait réellement le fait qu'elle soit héritière. Tu pensais naïvement, dans ta candeur d'enfant, que c'était ta faute, que tu avais fait quelque chose de mal, et que c'était pour ça qu'on t'avait oublié.
Alors tu ne te plaignais pas. Tu restait là, à jouer seul, dans ton immense chambre, plus grande que jamais à cause du silence. Tu avais fais une erreur, tu ne savais pas quand, pas où, mais tu avais fait une. Alors, tu la réparais en te taisant. C'était aussi simple que ça, dans ton esprit d'enfant, qui n'avait pas réalisé que tu passerais ton temps à attendre sans rien recevoir, si tu agissais ainsi.
Mais tu ne t'en rendais pas compte, ton réalisme était bridé par ton jeune âge. Tu ne savais pas comment était le monde, tu n'en étais qu'au stade « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ». Tu ne savais pas ce qu'était l'humanité, tu ne savais rien du monde, de son fonctionnement, de sa société.
Et maintenant, lorsque tu y repenses, tu t'énerves. Tu t'énerves d'avoir oser espérer une chose pareille, aussi stupide. Car maintenant tu sais bien que, peu importe le temps que tu aurais passé à attendre dans cette chambre, peu importe comment tu te serais comporté, rien n'aurait changé.
Alors maintenant, quand tu y repenses, ça t'énerve. Et ça te fait mal.

▬▬ Middle.

Tu étais silencieux, comme d'habitude. Tu rentrais chez toi, accompagné de ta sœur. Maintenant, tu comprenais tout. Que les gens s'intéressaient à ta sœur juste pour l'argent qu'elle avait. Et que la plupart de tes amis ne s'intéressait qu'à l'argent familial, à ta sœur.
La majorité des gens auraient été en conflit avec leur sœur, jaloux, dans ce cas-là. Mais toi non. Parce que tu la comprenais. Tu savais qu'elle en souffrait, qu'elle souffrait de n'être qu'un porte-monnaie aux yeux des autres, qu'elle souffrait de ce monde factice et superficiel dans lequel tout le monde vivait. Et tu en souffrais aussi.
Car, à part l'autre, aucun de vous n'avait de véritable ami. Ce n'était que conneries, de l'hypocrisie en masse, des mensonges. Oui, c'était ça. Vous viviez dans un monde de mensonges, dans une cage dorée qui vous étouffait un peu plus à chaque instant, et le seul moyen d'y échapper était de s'immerger dans d'autre monde, des mondes encore plus factices, mais des mondes où la mocheté était à nu. Des mondes décrits dans les livres, dans les séries. Oui, c'était ça, votre échappatoire.
Mais ça ne suffisait plus. Parce que ça avait toujours été ça. Parce que, même si quelqu'un vous comprenait, vous ne pouviez pas vous réconforter, vous dire que ça irait, puisque vous saviez tous deux que ça irait. Cette relation vous sauvait autant qu'elle vous détruisait. Parce que ce n'était pas le soutien que vous recherchiez tous les deux, c'était encore différent.
Alors cette souffrance continuait, couverte par des mensonges, par de fausses amitiés, par des masques amicaux.

▬▬ Beginning of the End

Tes parents étaient partis en voyage d'affaire, ta sœur avait fini plutôt que toi et était seule à la maison. Et lorsque tu étais rentré, tout était saccagé.
Cambriolage.
Tu ne savais pas quoi faire, tes yeux de sang étaient écarquillés, tandis que tu fixais la salle qui n'était plus que l'ombre de ce qu'elle était avant. Tu pensas alors à ta sœur. Qui avait été là lors du cambriolage. Alors tu te mis à courir, pris d'une soudaine peur, ouvrant brutalement les portes, fouillant toutes les salles du mieux que tu pouvais. Tu tremblais, tu avais peur, tu étais effrayé à l'idée de ce qui était arrivé de ta sœur.
Finalement, tu la trouvas dans la cuisine. Étalée sur le sol, dans une flaque de sang, ses yeux ouverts mais sans vie. Un couteau gisait encore dans sa poitrine. Tu restais là, tétanisé, incapable de faire le moindre geste, d'ouvrir la bouche. Après quelques minutes, tu te décidas à approcher, à effleurer son visage.
Elle était glacée.
Morte, depuis déjà trop longtemps. Avec sa peau pâle et ses cheveux étalés dans une corolle, on aurait pu croire que c'était une poupée de porcelaine, si il n'y avait pas autant de sang. Tu reculais, pris un téléphone.


1 an plus tard. Il n'y avait pas de piste, personne ne savais qui avait tué ta sœur. Tu étais désormais l'héritier, et le fait d'avoir personne à qui parler te faisait souffrir bien plus que ce que tu pensais. Étrangement, être le centre de l'attention t'avait néanmoins légèrement soulagé. Mais ça ne suffisait pas.
Tu voulais retrouver qui avait tué ta sœur. Oui, tu voulais retrouver celui ou celle qui avait fait ça, et le/la tuer, pour venger ta sœur. Tu le ferais, puisque personne d'autre n'était foutu de le faire.


▬▬ ... End ?

{U.C}


Hors-Jeu


Pseudo : Ah. Ah.
Avatar : Fuwa Mahiro de Zetsuen No Tempest
Âge : 14.
Comment avez-vous connu Kohime : Camelia J. Romano.
Code du règlement : Y'en a pas, alors vive les prunes. eê
 

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